Parmi le 1,1 million de personnes qui visitent chaque année Chambord, combien remarquent, depuis le poste d’observation que sont les toits du château, ce petit bâtiment au loin, adossé à l’enceinte et jouxtant des rangs de vigne à l’alignement parfait ? Certainement très peu. Plus rares encore sont celles qui parcourent le kilomètre et demi de distance pour découvrir ce lieu-dit de l’Ormetrou. Et pourtant, depuis ce tertre viticole de 14 hectares, le panorama est unique. La plaine, la forêt et, en arrière-plan, l’une des plus belles vues sur le château.
Les siècles ont passé mais l’émerveillement demeure face à l’imposant donjon de tuffeau ourlé de terrasses, de loggias et couronné de 282 cheminées. Cette boulaie minérale à la blancheur rythmée par une sombre marqueterie d’ardoise se fait l’écho du végétal omniprésent. Difficile d’imaginer que cet ensemble ceint d’un mur de 32 kilomètres, le plus grand parc forestier clos d’Europe, fut autrefois marécageux avant d’être progressivement boisé à partir de Louis XIV.
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